Du style, des watts!

L’argent n’est pas un problème puisque vous faites partie de ces gens heureux au portefeuille bien garni, votre ouverture d’esprit ne vous cantonne pas à la monoculture, votre pratique de la moto ne vous limite pas à un usage et donc un outil spécifiques, vous ne dédaignez pas sortir du lot en affichant votre différence? Ce comparatif hors-normes est taillé pour vous!

Texte Bruno Wouters - Photos Jonathan Godin

Ducati Streetfighter V4 S / Kawasaki Z H2 / KTM 1290 Super Duke R / MV Agusta Brutale 1000 RR

Sous le format d'un essai comparatif, nous n'avions plus empoigné les guidons des roadsters les plus puissants de la production actuelle depuis un certain temps. Les planètes s'étant alignées depuis le début de l'année, nous avons pu retrousser nos cuirs. Quatre motos, près de 800 chevaux: si vous aimez être décoiffé sous votre intégral, c'est par ici que ça se passe.

Texte: Bernard Dorsimont et Laurent Cortvrindt

Ni plus ni moins qu’une Panigale V4 dépourvue de carénage: telle est la nouvelle Ducati Streetfighter. C'est indéniable, la marque italienne n’y va pas par quatre chemins pour faire de son roadster phare un des plus extrêmes du marché.

Texte: Bernard Dorsimont - Photos Jonathan Godin

Une question de vivacité(s)

Avec la 752S, Benelli fait coup double. La marque italo-chinoise renforce sa gamme roadster et continue d'étendre son offre. Mais surtout, elle monte en cylindrée en proposant sa première machine de plus de 500cc pour 2020. Cependant, s'attaquer à un segment dominé depuis de nombreuses années par les cadors japonais, à savoir celui des roadsters de moyenne cylindrée, n'est pas chose aisée…

Texte: Laurent Cortvrindt avec Bernard Dorsimont / Photos: Jonathan Godin

Si la 790 Duke, sortie voici deux ans, devait surtout permettre à KTM de séduire davantage le grand public, la 890 Duke R s’adresse aux fans absolus de la marque autrichienne. Cylindrée en hausse, plus de chevaux, plus d’électronique, plus de caractère… C’est la recette de KTM pour en faire un «Super Scalpel».

Texte: Randy van der Wal