15 bonnes raisons d’aller aux Bikers’Classics ce week-end!

Classic Moto80
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La 15e édition des Bikers’Classics, qui se déroule ces 30 juin, 1er et 2 juillet, risque à nouveau de battre des records de fréquentation, pour les 15 raisons suivantes :

Lifestyle Village. En voilà un qui ne cesse de grandir ! Pour la troisième année consécutive, les adeptes des customs, bobbers et autres préparations épicées vont prendre possession de leur Village. Ils seront soutenus dans leur démarche par pas moins de quatre grandes marques officielles : Harley-Davidson, Yamaha, BMW et Ducati !

Live Music. Aux Bikers’Classics, le concert gratuit du samedi soir fait partie des institutions. Après des prestations sulfureuses en 2004 et 2012, Bouldou et ses Sticky Fingers reprendront possession de la scène pour un concert rock très «Rolling Stones». Une prestation d’ores et déjà approuvée par Classic 21, la radio des Classics.

Trois générations de stars. Sur la piste ou dans les paddocks, les stars sont toujours nombreuses aux Bikers’Classics. Cette année, trois personnalités risquent de cristalliser l’attention du public : Phil Read, Wayne Gardner et Guy Martin. Le premier reste dans l’histoire comme l’un des meilleurs pilotes de tous les temps. Le deuxième sera de retour à Spa pour célébrer les 30 ans de son titre mondial, conquis en 1987. Quant à Guy Martin, mega-star du Tourist Trophy, il sera au départ de la course d’endurance, mais aussi de la Parade GP, sur une Suzuki RGV 500 ex-Kevin Schwantz de 1994.

European Classic Series. Rendez-vous traditionnel du samedi soir, les 4 Hours of Spa Classic  marqueront la deuxième manche du championnat European Classic Series 2017, dont l’épreuve d’ouverture s’est déroulée sur le circuit de Donington Park début mai. Les 4 Hours verront s’élancer plus de 50 équipages sur le coup de 20 heures. Parmi eux, des amateurs, mais aussi quelques grands noms de l’endurance comme Grégory Fastré, Peter Linden ou encore Guy Martin.

Courses annexes. Si la manche belge de l’European Classic Series sera la point d’orgue du chapitre «compétitions» des Bikers’Classics, de nombreuses courses pimenteront l’événement du début à la fin, entre les runs libres et les parades. Les championnats belge, allemand et français de machines anciennes assureront à eux seuls une bonne part du spectacle.

Sultans of Sprint. Loin de se prendre au sérieux, les Sultans of Sprint proposent un championnat de courses d’accélération réservé aux bicylindres refroidis par air jusqu’à 1.400cc. Si la puissance, la performance et la vitesse sont mises en avant, les «Sultans» insistent aussi sur le style et la créativité des participants !

Parades GP. Non plus une, mais bien deux Parades GP cette année, l’une réservée aux motos construites entre 1960 et 1985, l’autres pour les «modernes» de 1986 à nos jours. Cette dernière réunira des MotoGP, des Superbikes et des deux-temps de la grande époque alors que la première rassemblera motos de Grand Prix, Formula 750 et machines d’endurance… Quelques noms au hasard : la Ducati MotoGP10 de Casey Stoner, la Kawasaki ZX-RR 2004 d’Alex Hoffman, la Ducati 1999 Superbike RS996 de Troy Bayliss, la Yamaha YZF R7 1999 de Noriyuki Haga, la Suzuki 500 RGV 1993 championne du monde de Kevin Schwantz…

Grande Parade A-XOC. Le samedi 1er juillet sur le coup de 18 heures, plus de 500 de motards s’élanceront pour deux tours de circuit, d’abord sur le tracé actuel de 7 km, ensuite sur les 14 kilomètres de «l’ancien Francorchamps». Pour la 15e édition des Bikers’Classics, la Grande Parade sera organisée avec la collaboration des protections A-XOC. Elle sera ouverte à tous les motards, les participants, mais aussi les spectateurs.

Village commercial. Si le paddock est le cœur des Bikers’Classics, le village commercial en est assurément les poumons. Plus de 800 m2 d’exposition où s’organise une activité typiquement «classique». On y déniche des pièces, accessoires ou documents précieux. On y rencontre et côtoie les stars du week-end lors de rencontres et séances d’autographes. On y fait des affaires grâce à la bourse d’échange (agrandie cette année). On y profite des différentes animations proposées…

La Moto Classic en fête. Trois jours de festivités, près de 30.000 spectateurs, des vedettes  internationales, des motos exceptionnelles, du spectacle en permanence… Le tout enrobé d’une ambiance conviviale typique, d’une odeur d’huile et d’essence qui l’est tout autant et d’un «bruit» inimitable. Tous les ingrédients sont réunis pour faire des Bikers’Classics la plus grande manifestation européenne de motos classiques. Et ça fait 15 ans que ça dure ! 

Boutique souvenirs. Il serait quand même dommage de quitter un tel événement sans ramener un petit souvenir, non ? Surtout quand ce souvenir peut s’avérer utile, sur place ou plus tard. La boutique officielle des Bikers’Classics propose des t-shirts, casquettes et de nombreux autres souvenirs aux couleurs de l’événement.

Best of Show. Si les organisateurs réunissent d’impressionnantes motos de collection, certains participants ne sont pas en reste. Pour la troisième fois, un concours d’élégance sera organisé entre eux, avec pour objectif de décerner des prix «Best of Show» dans plusieurs catégories. Une élection confiée à un jury de spécialistes et de célébrités.

Expo. On considère souvent les Bikers’Classics comme une exposition géante et vivante à ciel ouvert. Cela n’a pas empêché l’équipe de DG Sport d’organiser «une expo dans l’expo». Son nom : «Hard to find, nice to see». Elle réunira une dizaine de machines encore plus emblématiques que les autres, dont une majorité de 500cc GP, mais aussi des Superbike, MotoGP…

Krugger Thiverval. Une première mondiale, rien de moins ! Elle est l’oeuvre du local de l’étape, Fred Krugger, double champion du monde des constructeurs. Il revient avec une Ducati XDiavel entièrement revisitée, commande directe de l’usine de Bologne.

Mais encore… C’est tout ? Bien sûr que non ! Il y a bien d’autres raisons qui devraient finir de convaincre les plus sceptiques : l’ambiance conviviale, la présence de nombreux acteurs et spectateurs étrangers, l’accès libre à la pit-lane, les rencontres improbables, le plus beau circuit du monde, l’organisation sans faille…